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mais toutes les Fées, s’unissant contre elle, se font les protectrices des amants ; et, pour détruire à jamais les maléfices de leur méchante sœur, ils la métamorphosent en statue.

En ce moment, se dessine, au fond des jardins, un magnifique palais aérien, le palais de la féerie.

Toutes les Fées, formant un berceau de leurs baguettes d’or au-dessus de Djalma et de Farfalla, conduisent les deux fiancés vers cette splendide demeure, où doit se consacrer leur union.

Le rideau baisse sur ce tableau.



FIN DU DEUXIÈME ET DERNIER ACTE.



Paris. — Typ. Morris et Comp., rue Amelot, 64