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V
Je ne puis trouver le repos.
J’ai soif d’infini.
Mon âme languissante aspire aux inconnus lointains.
Grand Au-Delà, Ô le poignant appel de ta flûte !
J’oublie, j’oublie toujours que je n’ai pas d’ailes pour voler, que je suis éternellement attaché à la terre.
Mon âme est ardente et le sommeil me fuit ; je suis un étranger dans un pays étrange !
Tu murmures à mon oreille un espoir impossible.
Mon cœur connaît ta voix comme si c’était la sienne.
Grand Inconnu, Ô le poignant appel de ta flûte !