Page:Tanner - James, Memoires de John Tanner, vol 1, 1830.djvu/396

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(41) Olaus Magnus, dans son ouvrage de Gentibus septentrionalibus, liv. 2, p. 16, parle de l’usage adopté au Groenland de se servir de canots de cuir. (p. 79)


(42) Surnom donné à ces Indiens, parce qu’ils rôtissent leurs viandes avec des broches de bois.

(Note de l’éditeur américain.) (p. 81)


(43) M. Isidore Lebrun, dans son Tableau statistique et politique des deux Canadas, donne des détails fort étendus sur la constitution des deux compagnies, (p.81)


(44) Les blancs appellent cette peuplade les Minnetarees.

(Note de l’éditeur américain. ) (p. 82)


(45) Le mot fall, employé fréquemment dans la relation de Tanner, signifie littéralement la chute... L’automne se nomme fall dans ce pays, dit Basil Hall, n’est-ce pas un mot singulièrement expressif ?... On a cru devoir préférer dans cette traduction le terme de chute des feuilles, plus conforme aux habitudes indiennes et aux vieilles relations. John Smith, l’historien des premiers établissemens de la Virginie, dit que la chute des feuilles était, chez les Indiens, la dernière des cinq saisons.

M. Michaud nous apprend, dans l’Histoire des Croisades, que les Prussiens, idolâtres encore et incivilisés au treizième siècle, connaissaient le mois de la chute des feuilles. (p. 82)


(46) C’est ce même sirop qui, connu autrefois à Paris sous le nom de sucre du Canada, se vendait à des prix