Page:Tanner - James, Memoires de John Tanner, vol 1, 1830.djvu/399

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ojibbeitay ; deux ottawwaws, le Huron et le Michigan, et enfin FErié et l’Ontario. Ils appellent Sahkiegunnun le lac Winnipeg et les innombrables lacs du Nord-Ouest. — Note de l’éditeur américain. (p. 98)


(50) Basil Hall parle d’ornemens en argent dont la grosseur varie depuis celle d’une montre jusqu’à celle d’une soupière. (p. 102)


(51) Le père Lafitau (Mœurs des sauvages amériquains, comparées aux mœurs des premiers temps, t. 2, p. 220) donne une très longue note fort intéressante sur les traîneaux des Indiens. (p. 106)


(52) Cette exclamation de la vieille Indienne prouve, contrairement à toutes les relations, que, dans les mœurs sauvages de l’Amérique, le fils adoptif n’est pas considéré par une femme comme absolument l’égal de l’enfant qu’elle a porté dans son sein. (p. 113)


(53) « Nous passons les sept et huict jours, voire les dix, aucunefois sans manger, si n’en mourons point pour cela. ».

(Le père Biard, Relation de la Nouvelle-France, p. 70.) (p. 120)


(54) Ce poisson paraît être une clupée. (p. 135)


(55) Le mot de médecine s’applique, dans les relations américaines, aux remèdes et aux amulettes. D’après les habitudes de Net-no-kwa, il est probable que ce mot est employé ici dans sa double acception. M. de Chateaubriand se sert du terme de sac à médecine. « Les Indiens, dit John Hunter, possèdent, en général, au nombre des