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(67 et 68) Perrin du Lac, p. 352 de son Voyage dans les deux Louisianes et chez les Sauvages du Missouri, donne d’étranges détails sur cette bizarrerie de mœurs sauvages. (p. 206)


(69 et 70) Jebing neezh o shin naut : Deux morts reposent là. (Note de l’éditeur américain.) (p. 211)


(71) « Les premières démarches doivent être faites par les matrones ; mais il n’est pas ordinaire qu’il se fasse aucune avance du côté des parens de la fille. Ce n’est pas que, si quelqu’une tardait trop à être recherchée, sa famille n’agît sous main pour faire penser à elle, mais on y apporte de grands ménagemens. »

(Charlevoix, Journal, let. 19, t. 5, p. 420.) (p. 216)


(72) L’auteur anonyme de la Vue des provinces de la Louisiane dit, contradictoirement aux observations de Tanner : « Le suicide, cet acte de violence et de désespoir, qu’enfantèrent le dégoût de la vie et le poids du malheur, est assez commun parmi les nations les mieux policées, et, pour ainsi dire, inconnu chez les sauvages. (p. 223)


(73) « Multi superstites bellorum, infamiam laqueo finierunt. » (Tacite, De Moribus Germanorum.) (p. 223)


(74) « Aleam (quod mirere) sobrii inter seria exercent, tanta lucrandi, perdendive temeritate, ut cum omnia defecerunt, extremo ac novissimo jactu de libertate et de corpore contendant. » (Tacite, De moribus Germanorum.) (p. 228)