Page:Theodore Pavie - Histoire des trois royaumes vol 2, Duprat, 1851.djvu/179

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de ne pas se soumettre à Tsao-Tsao. Celui-ci, de son coté, instruit de la mort de son émissaire, s’écria en riant aux éclats : « Sa langue était un glaive avec lequel il s’est lui-même coupé le cou ! » Ce qui ne l’empêcha pas de se disposer à lever des troupes, pour aller demander compte à Liéou-Piao de ce crime commis contre le droit des gens.