Page:Theuriet - Bigarreau, 1886.djvu/82

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Seurrot le poussait sur la grand’route, c’est peine inutile, retourne-t’en chez vous… Adieu, va, je t’aime bien !

— Claude ! criait-elle.

Les gendarmes et le prisonnier s’éloignaient sur la route poudreuse, et toujours derrière eux se lamentait la voix désespérée de Norine : — Claude ! mon Claude !…

— Gendarme Schnepp, disait en se mordant la moustache le brigadier Fondreton à son subordonné, les cris de la gachette me remuent l’estomac censément comme un roulement de tambours… Il y a des quarts d’heure, Schnepp, où il est difficile d’accorder son service avec sa sensibilité… indubitablement.