Page:Theuriet - Philomène, 1897.djvu/85

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

grosse pierre et je n’ai plus trouvé que des cailloux… Il y a du sortilège là-dessous.

— Laisse-moi tranquille ; quel diable de sortilège veux-tu qu’il y ait ?

— Je l’ignore, répondit-il flegmatiquement.

Puis il ajouta d’un air candide :

— Est-ce que par hasard minuit serait sonné ?

— Oui, le dernier coup tintait comme tu t’enfonçais dans l’eau ; mais le lac est encore éclairé par la lune… Replonge, mon ami, je t’en prie !

— Le dernier coup tintait ? répéta Jacques sans sourciller ; par ma foi, ça explique tout !…