Page:Tinayre - La Rebelle.djvu/295

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aime telle que vous êtes… Ô ma chérie, si vous pleurez quelquefois encore, vous pleurerez dans mes bras ! Si je suis malheureux, vous endormirez ma peine sur votre cœur. C’est la guérison, c’est le salut ! Ne plus discuter, — nous aimer simplement, nous aimer plus, toujours plus et encore plus ! Ah ! ne me parle plus d’attendre ! Je ne veux plus attendre ! Je ne peux plus… Et puisque tu m’aimes, ô ma Josanne, mon unique amour, — viens ! Sois mienne, mienne, toute mienne !… »