Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/332

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322 I COliRESP®Nü)ANC*E INÉDITE et la réalisation quïils en ont adoptée est la seule •vm«i»e. Et, cela fdrit, chaque homme qui reconnaît comme la seuüc juste, cette form-0 qu’·il a choisie, »ce#bL·e tendamce des iiommes ii reconnaître la forme œdloptee comme la vraie, bien qu’elle natteigne pas gjusquà la cruauté de l’Egl·ise, est le .» imrcipad obstacle au chris- tianisme, ciest le frottement, et ële but de ceux qui marolienlt tâlemrière de Ghvnist., est de dimi- nuer ce ·f1*otte«m·ent le plus possible. Il y a i·mdini=t·é de fomn·es pour suivive Ha voie du Christ, de même ·qu’·il y a une iulinvbtô dé points sur la ligne im1¤liu·i'e, et pas une seule n’es·t plus imgpoertaënte que l’au'ti·e. L’imn— portant c’est la rap~‘i·didsé du rmouv*ement.`E‘t la '· rapiclite du mouvement est en l‘8Spïp(DlI"i inverse 'de la ipossibilité de d·éfiu·i¤r les points. I Vous ·d-iles encore que ni ·l"a*veu, ni la con- ception de la _pe·x·fecwbiou ·d<e soi-même ne vous plait, et meme que vous nîazirmez rpas lu qierufec tion. (L’es·t trop vague et ¤t1·o1p zgéuéral. J e com- prends -ce*l~a; j’a·i pensé dc même. La vraie vie est donnée ài Fhomeme sous ·d*eux conditions 1 1° pour qu’il fasse leibien aux hoiumes Qet *l0·