Page:Tolstoï - Polikouchka.djvu/136

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Aksioutka prit d’une main sa robe ; comme ce mouvement l’empêchait de mettre ses deux bras en branle, elle fit aller deux fois plus vite, le long de son corps, sa main restée libre, et vola. Elle avait peur, elle sentait que si elle voyait ou entendait n’importe quoi, fût-ce sa propre mère, elle mourrait de terreur. Les yeux fermés, elle volait par le sentier qui lui était familier.