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temps à prier Dieu pour vous. Je suis si heureux que, grâce à Dieu, notre barinia vive encore !
— Dis-moi, comment as-tu trouvé I’argent ?
— C’est que, nous autres, nous avons toujours essayé de plaire à la barinia, de vivre honnêtement, et non pas…
— Voilà qu’il s’embrouille tout à fait, Madame, dit Douniacha.
— Je venais de mener mon neveu au recrutement ; et c’est en retournant que j’ai trouvé l’enveioppe sur la route. C’était sans doute Polikey qui l’avait perdue.
— C’est bien. Retire-toi, retire-toi : j’en suis bien aise.
— Que je suis heureux, ma petite mère ! disait toujours le moujik.
Il se rappela qu’il n’avait pas remercié et