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ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

siste dans la négation de tout ce que la foule prise si fort.

Le sujet de ce second roman est encore sérieux, mais le rapport moral entre l’auteur et le sujet traité s’y affaiblit déjà notablement ; et, tandis que dans le premier roman les taches de sensualité le déparaient de temps à autre seulement, dans Bel-Ami elles prennent de l’extension et nombre de chapitres sont entièrement écrits avec de la boue, comme si l’auteur semblait s’y complaire.

Dans Mont-Oriol, les questions : pour quelle cause, pourquoi cette charmante femme souffre-t-elle ? pourquoi le succès et la joie de ce mal brutal ? ne se posent plus ; il semble y être admis que cela doit être ainsi ; les exigences morales ne se font presque plus sentir. En revanche, on y