Page:Tolstoï - Zola, Dumas, Maupassant.djvu/198

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II


Il n’y a pas une religion, depuis la plus élevée jusqu’à la plus grossière, qui n’ait pas dans sa base cette relation de l’homme avec le monde qui l’entoure. Il n’y a pas une cérémonie religieuse des plus grossières ni un culte des plus raffinés qui ne reposent sur la même base. Toute doctrine religieuse est l’expression de la relation de son fondateur, qui se reconnaît comme homme, avec l’univers infini.

L’expression de ces relations varie selon