Page:Tourgueneff - Récits d un chasseur, Traduction Halperine-Kaminsky, Ollendorf, 1893.djvu/170

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sait. Par larges bandes de pourpre, se répandirent ses derniers rayons ; des nuages dorés s’étendaient, puis allaient mourant comme une vague lavée et peignée… et dans le village on entendait des chansons.