Page:Tourgueneff - Récits d un chasseur, Traduction Halperine-Kaminsky, Ollendorf, 1893.djvu/307

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— Eh ! voyons, bârine, m’interrompit-il avec dépit, veuillez seulement n’en rien dire… mais il vaut mieux que je vous accompagne. La pluie n’est pas près de cesser.

Nous entendîmes le bruit du cheval et de la telega du moujik.

— Le voilà parti, murmura le Biriouk, mais qu’il y revienne !

Une demi-heure après, il prenait congé de moi à la lisière de la forêt.