Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/229

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belle-sœur de celui qui fut directeur. Ce fut elle qui prêta le chapeau, le voile et le mantelet dont je me couvris lors de ma sortie de chez M. Hardy.

Plus tard, ma mère et moi voulûmes lui aller témoigner notre reconnaissance. M. Hardy nous dit qu’elle n’habitait plus Paris, qu’elle était retirée à la campagne. Toutes nos recherches furent inutiles, et je ne revis jamais cette personne à qui mon cœur était si reconnaissant de son généreux accueil et du bien qu’elle m’avait fait.