Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/81

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Je rapportai à Paris la feuille mystérieuse, je la montrai à ma mère, qui la montra à la Reine, et la Reine laissa voir par un sourire qu’elle était du secret, et nous sûmes que le Roi lui-même m’avait donné cette marque touchante de son bienveillant souvenir.