Page:Ujfalvy - La Hongrie, son histoire, sa langue et sa littérature.djvu/69

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

szabad, svoboda, libre ; unoka, vunk, nièce ; olasz, vlach, italien ; orvos, vrac (ancien slave), médecin; orszâg, rusag (ancien slave), pays ; szerda, sreda, mercredi ; szombat, sobota, samedi ; ainsi de suite.

Quelques mots dérivés du latin.

Szarvas, cervus, cerf ; lentse, lens, lentille ; len, linum, lin ; szent, sanctus, saint ; falu, villa, village ; csillag, stella, étoile; ora, hora, heure ; kert, hortus, jardin ; férj, vir, homme ; tégla, tegula, brique ; sogor, socer, beau-frère ; angolna, anguilla, anguille ; almârium, armarium, armoire ; cseresznye, cerasum, cerise ; császár, Caesar, empereur ; etcet, acetum, vinaigre ; fige, ficus, figue ; kurta, curtus, court ; márvány, marmor, marbre; ainsi de suite.

Quelques mots dérivés du français :

Acél, acier ; arestálni, arrêter ; bárka, barque ; bokréta, bouquet ; bastya, bastion ; érsek, archevêque ; iskatulya, chatouille ; forint, florin ; ainsi de suite.

Ajoutons encore que c’est à la langue latine que le magyare a emprunté son alphabet. Les anciens écrivains comme Turoczy, Zamoscius[1] et

  1. Dans son ouvrage intitulé : Analecta.