Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/231

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CONCLUSION


À cette quarante et unième lettre s’arrêtent les confidences de nos jeunes amies.

Le mariage n’a en rien troublé la parfaite harmonie de sentiments qui a toujours régné entre elles ; elles continuent à se communiquer scrupuleusement les diverses études qu’elles ont occasion de faire, chacune de leur côté ; seulement, l’administration des postes ne servant plus d’intermédiaire entre ces dames, nous nous trouvons dans l’impossibilité d’offrir au public ces intéressantes communications.