Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/1275

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Ainsi, Lignon, si dans toy-mesme
Tu retiens quelque sentiment,
Admire la faveur extréme
Qu’Urfë te faict en t’estimant.
Et afin que l’ingratitude
Ne soit le prix de son estude,
Prise le beau feu qui l’éprit,
Et confesse dans tes limites
Que tu tiens ce que tu merites
De sa plume et de son esprit.