Page:Van Hasselt - Nouvelles Poésies, 1857.djvu/151

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Où peut-être je cours en vain ;
Et que pour vous, loin des orages,
Chante toujours sous vos ombrages
Le bonheur, cet oiseau divin.

Mais dans votre âme fraternelle
Songez parfois à votre ami
Quand les autans battent son aile.
La mort c’est l’absence éternelle,
Et l’absent est mort à demi.



Mai 1857.