Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/97

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Crescendo d’amour.


Tous ces pensers que tu recueilles
Et que je lis dedans tes yeux,
J’en fais un livre pour nous deux.

Te rappelles-tu quand les feuilles
Se dépassant, se poursuivant,
Tourbillonnent avec le vent
Et qu’elles s’en vont en avant
Toujours plus loin et plus rapides ?