Page:Vauvenargues - Œuvres posthumes éd. Gilbert.djvu/384

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368 mnnx nargues, xxi. ll sollicite en sa fa- Vengeance (la) est l’ouvr•.ge de la ré- veur, xvm,270,:. Se: reproches au flexion, 160. sujet de la Meditation cur la Foi, V so . . I,. nu". Amon de vwmnngucs mr zncnuwo. n opnmon sur immor- vowm, On nu attribue a mm "‘“"· """· ¢¤l’W¤9 ¤¤9°d°W ¤P°¤‘YPh° ****1* Vérité (la). Son emploi en littérature, dernioh moment! dc Vnuvenargues, Queue cn cst Pcxprcssion, 60. 239• D1¤¤¤*·¤ **06 06 d°l'¤i°¤‘ W ¤¤· dispose bien la vie, 286. Bien ne l’ef- jet de Corneille et de Moliere, 238, gm, 356, nom guc pcm em ma. note, 252,:, 256,:. Revient souvent ¤émd•c,mu,_3qy_gau,c, dc pi,-my. NU 19699 99 V¤¤V9'W'8u°* *P*'é$ ‘°¤ ference qu’on montre pour elle, 620, avoir eombattues, 265, note. Louan- ·;0_,_ S, puissmcm ML Sgduyégi eng ges qui lui sont données, 216, 262, nhs, pu si me qua 16 langagg Mw W', 689, 768+ $9** °Pi¤i°" W" Lesvéritésdoivent etre sanscessere- Bossuet, 276. Comment il qualifie pétéc,_l,35_ ,,71 comment lu dm;- 13 3 fait I'BtI’8II· on fontlahonueum chori. Vauvenargues quelques-unes Bug 8,, inépuiubgm ;,gq_ Rapect <1¢¤6¤Pl¤•b°“°¤ muimes. $99,¤°*¢· que lui portaient nos peres, 601. $9* *¤¤°m·l°¤’ sur l°°·"°"'Pl“"`° Elle estlesoleil des intelligences, ib., d’·1*·‘¤· “• 2°2·’• 8* °°“`°°P°"d*"°° Elle est indépendante des opinions <=i¤¢¤ ·¤ ·¤1¤¢ ·*¤ ¤¤¤ ¤¤ V*¤·¤· ,, ea., ,,,,,,4,,, des hommes,18,:. 110,:. Sa critique des pensées de _ _ Pascal citée, 136,:. Son opinion sur v*'°““ (P°’°l)* p°'°°°°* 253** le marquis de Mirabeeu, 173,:, note, yum, (I, comtgggg dg), 235,;, Se: observations sur l’Eloge du _ jenna de Seytres, 270,:. ll compose V°"'n°°‘°w (l°)_ nc wmun pu d° A l’intention de Vsuvenarguesféloge j°g° d° ws é°m°’ m3' des otliciers morts pendantlo guerre Ygrlu, llegle sure pour la bien dis- dc 1761, ibid, ¤0¢8· LGWMS q¤’il tinguer du vice, 52. Elle ne nous adresse 6 Vauvenargum, 252,:, satisfait pas complétement , 53. 257,:, 270,:, 272,:, 276,:, 270,:, Uirreligion ne peut Panéantir, 56. 281,:, 286.:, 280,:, 200,:, 201.:, On n’en peut nier la réalite, 56, ni 203,:, 206,8, Lettres qu’il en recoil, en etre dupe, 76. Il est des vertus 262,:, 256,8, 276,:, 278,:, 280,:, qui sont indépendnntes du bonheur, 283,:, 202,:, 203,:. Son nom cité, 1, 86. La vertu est plus chére que le 'v, vu, xvi, 320, note, 351, 368, 371, bonheur, 01. On peut en rougir, note. 373, note, 376, note, 387. 106. ll faut la préférert tout, 123. note, 395, note, 667,1,:, 35,:, note, L’oisivet.é la fait souilrir, 126. Sa 60,:, note, 207,:. definition, 56, 162, 163, note: ll n’y a point de siecle ni de peuple Vance (le msrquis de), 105,:, 286,:. qui n’nient étsbli des vertus imagi- 295,8, 296,8, 297,8, 298,•, 301,8- naires, 185. Ce que Vauvenargues 902,*- entend parce mot, 360, note. Com- ment la. rendre facile, 376. Bien Vance (J ulie do Villeneuve-), illle du n’est si aimable qu’elle, 378, note. précédent, épouse Saint·Vlncens, Elle n’est pas un trafic, mais une 205,:. riclxesse, ibid. Sur ceux qui In ser- I