Page:Verne - Claudius Bombarnac.djvu/153

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« Nous ne serons pas dérangés cette nuit, me dit-il, et je vous engage à en profiter pour faire un bon somme. La nuit prochaine, à travers les défilés du Pamir, nous ne voyagerons pas si tranquillement, je le crains.

— Merci, Popof, je vais suivre votre conseil et dormir comme une marmotte. »

Popof me souhaite le bonsoir et rentre dans sa logette.