Page:Verne - Claudius Bombarnac.djvu/278

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suis traîné sur la voie pendant une centaine de mètres, n’est-il pas étonnant que je n’aie plus rien trouvé de lui !…

Nous regardons ce désastre, en silence d’abord ; puis, les propos commencent à s’échanger.

« Il n’est que trop certain, dit un des voyageurs, que notre chauffeur et notre mécanicien ont péri dans l’explosion !

— Les pauvres gens ! répond Popof. Mais je me demande comment