Page:Verne - Claudius Bombarnac.djvu/93

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profit cette lumière. À présent, la caisse est éclairée au dedans, et en regardant à travers les trous…

Je me relève, je rampe dans le fourgon, je m’approche… Une seule appréhension m’étreint le cerveau : c’est que la lumière ne s’éteigne brusquement…

Enfin me voici contre le panneau, auquel j’ai soin de ne pas toucher et j’applique mon œil sur l’un des trous…