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de fêtes en fêtes.


« Je vous dis au revoir ! » (Page 207.)

« Tu n’es pas fatiguée, mon enfant ?…

— Non, ma mère.

— Et vous, monsieur Yvernès ?…

— Pas le moins du monde, madame. Avant ma naissance, j’ai dû être enfant de chœur dans une des chapelles du Paradis ! »

La soirée s’achève, et il est près de minuit, lorsque M. Coverley juge l’heure venue de prendre quelque repos.