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journal du passager j.-r. kazallon.

environ quatorze gallons[1], et la seconde barrique est intacte. Mais le baril qui contenait la viande sèche et celui dans lequel était le poisson que nous avions pêché ont été emportés tous deux, et de cette réserve il ne reste absolument rien. Quant au biscuit, Robert Kurtis n’estime pas à plus de soixante livres ce qui a pu être sauvé des atteintes de la mer.

Elle imbiba les lèvres du lieutenant. (Page 115.)

Soixante livres de biscuit pour seize, cela fait huit jours de nourriture, à une demi-livre par personne.

Robert Kurtis nous a fait connaître toute la situation. On l’a écouté en


  1. 65 litres.