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le volcan d’or.

risquèrent à descendre de quelques centaines de mètres dans la plaine, de manière à découvrir toute la base du volcan. Ils constatèrent que la position était abandonnée.

Rien ne troublait le calme de la plaine aussi silencieuse que déserte. Des deux corps que le crépuscule y avait recouverts la veille, il ne restait qu’un au lever de l’aube. Seul, à quelque distance du canal, le cheval mort mettait une tache sombre sur le vert clair de la prairie. Déjà, des oiseaux carnassiers voltigeaient autour de lui.

Quant à Hunter, il avait disparu.