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du capitaine grant.

Un boulet coupa en deux la pirogue. (Page 575.)


neige éblouissante. Leurs eaux limpides étaient portées jusqu’à l’ébullition, tandis que d’autres sources voisines s’épanchaient en nappes glacées. Des fougères gigantesques croissaient sur leurs bords, et dans des conditions analogues à celles de la végétation silurienne.

De tous côtés, des gerbes liquides, entourbillonnées de vapeurs, s’élançaient du sol comme les jets d’eau d’un parc, les unes continues, les autres intermittentes et comme soumises au bon plaisir d’un Pluton capricieux. Elles s’étageaient en amphithéâtre sur des terrasses naturelles superposées à la manière des vasques modernes ; leurs eaux se confondaient peu à peu sous les volutes de fumées blanches, et, rongeant les degrés semi-diaphanes