Page:Viard - Grandes chroniques de France - Tome 9.djvu/95

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Robert d’Artois de la conté d’Artois ; et comment la damoiselle de Dyvion fu arse ; et comment ledit Robert fu appellé à droit pour soy espurgier des crimes dessus dis.

Le xi, comment messire Robert d’Artois fu bani ; et comment le roy fist preschier pour prendre la croiz.

Le xii, comment les messages au roy d’Angleterre vindrent à Paris, au roy de France, pour traitier d’aucun accort de pais ; mais il ne firent riens.

Le xiii, comment messire Jehan duc de Normendie fu si malade que touz les medecins se desesperoient de sa santé.

Le xiv, comment le roy visita les lointaines parties de son royaume ; et comment grant tempeste de tonnoirre chei au Bois de Vincennes quant messire Phelippe, le duc d’Orliens fu né.

Le xv, comment les Flamens se tournerent de la partie au roy d’Angleterre par Jaques Hartevelt et de plusseurs incidences.

Le xvi, comment le roy d’Angleterre passa la mer et fist aliances aus Alemens ; et comment le roy de France assambla grant ost pour aler à l’encontre de lui.

Le xvii, comment le roy de France Phelippe fu defraudé par mauvais conseil ; comment il attendist jusques à l’endemain à combattre au roy d’Angleterre ; et comment en celle meismes nuit, le roy d’Angleterre s’enfui.

Le xviii, comment le roy Phelippe esmut grant ost contre les Flamens, les Brebançons et les Hainoiers ; et comment il envoia son ainsné filz, monseigneur Jehan de France, duc de Normendie, pour gaster la terre de Hainaut.