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BIBLIOGRAPHIE

1861-1863


1. — L’Héliotrope.

Sonnet publié dans l’ouvrage suivant :
Conférence La Bruyère. 1861-1862. [Paris]. Imprimerie de Moquet, rue des Fossés-St-Jacques, 11, in-8, p. 357 (n. chiffrée).
Signé : J. de Hérédia (sic). Ce sonnet commence par ce vers :
L’Héliotrope entr’ouvre à l’orient sa fleur,
et se termine par :
Et, dût-elle en mourir, oh ! verse-lui ta flamme.
A paru ensuite dans la Revue de Paris, première année, seconde période, 1864, tome VII, p. 311. Non réimprimé dans Les Trophées.


2. — Mer montante.

Sonnet publié dans l’ouvrage suivant :
La Conférence La Bruyère. 1862-1863. Paris, imprimerie Moquet, rue des Fossés-Saint-Jacques, 11, in-8, p. 411[1].
Signé : J. M. de Hérédia (sic). Ce sonnet commence par ce vers :
La tempête sonnant ses charges triomphales
et finit par :
Pour étouffer un cœur qui ne veut pas se taire.
  1. L’ouvrage dont le titre est donné ci-dessus est un recueil de prose et de vers publié par les membres de la « Conférence La Bruyère », association littéraire, historique et philosophique. Georges Lafenestre et Sully Prudhomme y ont également publié des vers. Joseph de Hérédia (sic), qui demeurait alors 21 rue de Tournon, figure sur la liste des membres comme « membre titulaire, section du sud ».