Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 2.djvu/130

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tunteentière : ~ ¤l’ui volé POI ! manger, je veux bien -m’acquitter dmlartàche qui m’est imponée, mais jesuis homme, fai le droit devine, et la société dont wus êtes le représenta n’a pas celui demo laisser ·mun•rir•x\efaim. · Maintenant il tant admirer ceux qui restent vertueux, plaindre ceux qui suœanhem, leur tendre la main lonsqu’ilsm¤t-e•: pié leursùutes, etcherchernwec soin Iesmoyens de les enpà- ’ olœrale succomber de nouveau ·.

Persome, jeiepenue, nemetm on doute l’utilled’& tablisumena semblables i ceux queje propose, mais on pourrait objecter qu’il nÈy a’pus d’argent pour les fonder ; l’argent ne manqué ’point lorsqu’il n’agit de futilità ; avec ce que coûte un vaisseau carton, on pourrait fonder une uile d’asile, nvecee que coûte Nmetion (un obélisque qui ressemble plus à la cheminée (une u aile qu’à touttiutreobose, bnfeuttnil établir un Itdint dans lequel les nécessitant trouveraient toujoum du travail, au reste je ne <« is pas pourquoi on n’imposerait point ceux qui possèdent, ils boiraient’peut-ètrequelqixns bouteilles de champagne de moins, ils ne donneraient pas autant à la danseuse qu’ils entretiennent, mais où serait lemnhilü mamepoululednvivresuns chmpgne et sans üueune.

Oesètablisuemens, si jamais ils existent, devnneun ’L