Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/258

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- itu ltll•¤·à• seraient exauoés, dans sa sécurité croissante il - commençait à dormir sur l’uüë et l’autre oreille, lorsqu’un beau jour, ce devrait être un vendredi, ° Moiselet plus mort que vif, accourt chez le curé : Ah ! monsieur, je n’en puis plus. -· » Qu’avez-vous donc, Moiselet ? —· » Je n’oserai jamais vous le dire. Mon u pauvre M. le curé, ça m’a porté un coup, j’en u suis encore saisi à toutes les places. On m’ou.. vrirait les veines qu’il n’en sortirait pas une goutte de-sang. · —·— » Mais qu’est·—ce qu’il y a ? Vous m’effrayez. —=— » La cachette..... I — » Miséricorde ! je n’ai pas besoin d’en apprendre davantage. Ob ! que la guerre est un terrible fléau I Jeanneton, Jeanneton, allons donc vite, mes souliers et mon chapeau. — » Mais, monsieur, vous n’avez pas dé ».jetmé.

’ ·—·. » Oh ! il s’agit bien de déjeuner. -5— » Y~ouS $avez que quand vous sortez à ai vousayez des tirail, lements., ..· î. z >-¢- ». Mes souliers, te dis.-je. · ·

sa-m’Et puis. vous ygîuslplaindrez de votre

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