Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/364

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que son ombre ou que son tranche lard. Pa-· voue que plusieurs fois je tremblai qu’il ne vînt ’à soupçonner le motif pour lequel je le veillais de si près ; alors il m’aurait infailliblement égorgé, et je serais tombé sous ses coups sans qu’il eût été possible de me secourir ; mais il ne voyait en moi qu’un familier de l”inquisition politique, et à l’égard des imputations séditieuses dirigées contre lui, il était parfaitement tranquille.

Il y avait près de quatre heures que je faisais les fonctions de second chef d’office, lorsque le commissaire de police (·aujourd’hui chef de n la 28 division}, que j’avais fait prévenir, arriva enfin. J’étais au rez-de-chaussée ; d’aussi loin que je l’aperçus, je courus à lui, et après l’avoir prié de ne se présenter que dans quelques minutes, je revins auprès de Raoul.

Le diable les emporte, lui. dis-je, actuellement ne prétendent-ils pas que ce n’est pas ’ » ici que nous devrions être, mais à votre do·=· micile de Paris ?

- xa Si ce n’est que cela, me répondit-il, allons-y. ’ =

— » Allons-y, et puis quand nous y serons, »’il nous faudra revenir à la chaussée de Cli-