Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/19

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qu’aux très. fameux docteurs Gall et Spurtheim, enfin, à tous les physiognomonistes ou phrénologistes passés, présents et à venir, dans les monographies que je vais tracer, je ne tiendrai compte ni des irrégularités du visage, jai elles ne sont accidentelles, ni des protubérances frontales, occipitales ou autres, ce sont des indications plus précises, et surtout plus positives que je fournirai, me gardant soigneusement de cet esprit de système qui ne produit que des erreurs. Une bonne toxicologie ne se fonde pas sur des hypothèses : voyez celle de M. Orfila ; on ne se joue pas avec les poisons, et quand on veut mener une démarcation infaillible entre les bons et les mauvais champignons, entre les espèces vénéneuses et celles qui ne le sont pas, il faut des données d’une évidence si constante et si palpable, que personne ne puisse s’y méprendre, Afin de trouver un appui à la comparaison, j’en appelle au savant docteur Rocques, dont l’excellent travail sur cette matière est si justement estimé.

Puisque par cette série de rapprochements, auxquels Sans doute le lecteur ne s’attendit pas, je suis parvenu jusqu’aux confins de l’histQil’¢ naturelle, je- ne suis pas fâché de saisir