Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/30

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

sa nduoxsnn

Nomme-tèil aussi des mouchards ? - » Il parle d’Argus, de Briarée ; j’espëre que l’un était- un fameux agent de police,

  • » ’cent yeux l et l’autre, cent bras, quel gendarme

» · · ’ ·

L’érudit était entiché de son acquisition, et quoi que j’eusse dit pour lui prouver que son livre n’était qu’un fatras, il se retira, bien convaincu qu’il m’avait fait un très joli présent, , mais que, par amour-propre, je ne voulais pas en convenir. ’

Je suissûr que, dans sa pensée, Godefroid valait-bien Vidocq, et pourtant tout le savoir de l’a-ncien, dont il, ngc proposait les leçons, se büïnaît à des pratiques superstitieuses. La foi était nécessaire, comme aux disciples de M. Coup sin ; elle est encore bien vive, bien robuste, la foi ! après Pincentlie du bazar Boufflers, n’ai-je pas vu promener gravement un bouquet de violettes sur les murs, afin de reconnaître si le feu avait été mis à dessein. : s’il y ava à eu malveillance, le bouquet devait si enflammer aussitôt quion le présenterait à Yendroit où Yincendie ’ avait commencé ; et des témoins ont vu la flamme, le bouqueta été consumé, ·°le fait est authentique ; c’est comme l’apparition de la croix de