Page:Vielé-Griffin - La Clarté de vie, 1897.djvu/197

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et semer devant nous, sur le seuil noir tantôt,
En pluie d’argent perçant la treille du linteau
Et qui perle à son sein et sur ses mains ruisselle,
La joie muette de son silence éternel…