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ENTRE L’ANCIEN ET LE NOUVEAU[1]


le duc, seul. — Bien oublié, déjà des hommes, gît, maintenant, en poussière, à l’ombre de la Croix, le royal banni, dans le caveau deux fois funèbre de Goritz. Là repose un homme qui a souffert et qui, sans une tache de sang sur ses mains, jointes en

  1. Ces pages, totalement inédites, n’ont guère besoin de commentaires. D’elles-mêmes elles disent la date à laquelle elles furent composées. Il suffit d’ajouter que cet écrit, l’un des rares, où Villiers de l’Isle-Adam s’occupa exclusivement de politique, et en tout cas le plus long, était destiné au Figaro, qui alors, ne crut pas devoir le publier.
    (R. D.)