Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/102

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tudes d’ivrognerie, et, ma foi ! c’était peut-être encore l’amitié qui le guidait en cela ; il buvait ma boisson favorite, il fumait les mêmes cigares que pendant son enfance, tout cela lui parlait de moi.



« Quand je fus rétabli et que je pris congé de lord Lasiesbury, je lui dis quelques mots de ce qui précède ; il rompit les chiens, m’assura que je ferais mieux de rentrer en Europe et émit l’opinion que le brûlant soleil de l’Inde m’avait été fort préjudiciable.

« Je compris… il me croyait un peu fou.