Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/44

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livrer à une nouvelle sottise, et ça ne manquait pas. Alors je le surprenais en flagrant délit. Un matin, ne le trouvais-je pas en train d’ébrécher mes fins rasoirs sur son rugueux et sale cuir gris !

« Les malheurs à prévoir ne tardèrent pas à arriver.

« Bientôt, cet enragé animal du diable me joua des tours d’une malice noire et raffinée. »