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Grevin.

SCÈNE II.
Gérard, l’Ad^’ocat.
Gérard.
Tout beau, compère Sire Josse,
Aprochez de moy hardiment.
Que craignez-vous donc ?
L’Advocat.
Mais comment
Est-il possible que je taise
Si longuement un si grand aise ?
Où trouveray-je le cousin ?
Gérard.
Hau, compère ! dictes, voisin,
N’est-ce pas assez babille ?
L’A DV oc AT.
Encores estant habillé
Comme je suis, je n’ose pas
A grand peine faire deux pas,
Que je ne craigne la présence
De (juclcini de ma coguoissance.
Il vault donc mieux que je m’en voisc,
Afui d’éviter plus grand noise,
(jhez Marion.
Gérard.
Hé ! revenez.
L’A DV oc a T.
Ha’par Dieu, vous ne m’y tenez ;
Vous estes donc si près de moy !