Page:Vivien - La Dame a la louve.djvu/203

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svanhild, à elle-même.

Attendre… comme moi.


thorunn.

La Mort guette les égarés qui s’attardent dans les montagnes.


asgerd.

Les chemins sont périlleux lorsque la brume tombe des sommets.


svanhild, dans un grand cri.

Les cygnes ! les cygnes ! les cygnes !


toutes, les regards vers le lointain.

Nous ne voyons rien.

svanhild.

Le vent du Nord souffle dans leurs ailes… Ils ont franchi la mer, car l’écume argente leur plumage. Ils vont vers le large. Leurs ailes sont