Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome2.djvu/274

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LINDiSCRKT. Ces marauds l’ont mis là pjir pure (’toni-dciio.

I A SCS sens.i

Laissez-nous. Coinmaiidciir, (’coiitc, je le prie. SCÈNE V.

DAMIS, TRASIMON. CLITAXDUK. l>ASOLL\.

CI, rr \\ I) li K, à Pasquiii, tcnaut \in lullot à la iiiaiiK

Oui, tout le Ion," ; ’ du jour domcurc eu ce jardin : Ohsfrvo tout, vois tout, redis-moi tout, i^asquiu : Ucuds-moi couipto, on un mot, de tous les pas (THortonso Ah 1 jo saui’ai…

SCÈNE M.

DA.MIS. TRASIMON, CLITANDRl- ; .

DAMIS.

Voici lo mar(iuis (jui s’avanco. Bonjour, mai"(juis.

C L I T A X D R E, un liillet à la main.

Bonjour.

DAMIS.

Ou’as-tu donc aujourd’hui ? Sur ton front à longs traits (]ui diable a peint reiiiiui ? Tout le monde m’al)orde avec un air si morne. Que je crois…

CLITANDKK, l>as.

]\la douleur, hélas 1 n’a point de borne.

DAMIS.

(Jue marmoltes-lti là ?

CLITANDIii : , ba-i.

Que je suis malliciireiix !

DAMIS.

Çà, pour \oiis (\ti ; a\er, poiii’ nous plaire à tous deux. l.e mar(iuis eidendi’a le billet de ma belle.

Cl.rr \M)Iii : , bas, vu n’^anlant le billrl (iii’il a cntn- les mains.

(Miel (•oiig( ! (|uelle lettre I lloriciise… Mil la cruelle !

D A MIS, à Clitan(b( ? .

C’est un l)illet à l’aire expirer un jaloux.