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458 LKXFAXT PRODIGUE.

1)0 me cliasser ce goiidarnio oH’ronté, Qui, sous le nom d’une fille suivante, Donne carrière à sa langue impudente. Je ne suis pas un président pour rien ; Et nous pourrions l’enfermer pour son bien.

MARTHE, ; i Lise.

Délendez-uloi, parlez-lui, parlez ferme : Je suis à vous, empêchez <|u"on m’enferme ; Il pourrail bien \oiis enfermer aussi.

Lisi ; . J’aii^t ; nre mal déjà do tout ceci.

MAUTHE.

Parlez-lui donc, laissez ces vains murmures.

LISE.

Que puis-je, hélas ! lui dire ?

MARTHE,

Des injures,

LISE.

Non, des raisons valent mieux.

MARTHE.

Croyez-moi, Point de raisons, c’est le plus sûr.

SCÈNE Y.

LES PRÉ ci : DE XTS, R ON DON. RONDOX,

Ma foi ! 11 nous arrive une plaisante atfaire.

FIEREXFAT.

Eh quoi, monsieur ?

ROXDON,

Écoute. A ton vieux père J’allais porter notre papier timbré, Quand nous l’avons ici près rencontré, Entretenaut au pied de cette roche Un voyageur qui descendait du coche.

LISE.

Un voyageur jeune ?…

ROND ON.

Nenni vraiment,