ACTE V, SCÈNE V. 511
SCÈNE IV.
LISE, MARTHE.
LISE.
Digne Eiipliéiiioi), pourrai-jc te loucher ? Mon cœur de moi semble se détacher. J’attends ici uion trépas ou ma vie.
(A Marlhe.)
l^]coute un peu.
(Elle lui parle à l’oreille.) MARTHE.
Vous serez obéie. SCÈNE V.
EUPHÉMON pî : ri : , LISE.
USE.
Un siège… Hélas !… Monsieur, asseyez- vous, Et permettez que je parle à genoux.
ETPHÉMON, l’empêchant de se mettre à genoux.
Vous m’outragez.
LISE.
Non, mon cœur vous révère ; .le vous regarde k jamais comme un père.
EUPIIÉMO^N PÈRE.
Qui ? vous ! ma fille ?
LISE.
Oui, j’ose me flatter Que c’est un nom que j’ai su mériter.
ELPHÉM0-\ PÈRE.
Après l’éclat et la triste aventure
Qui de nos nœuds a causé la rupture !
LISE.
Soyez mon juge, et lisez dans mon cœur ; Mon Juge enfin sera mon protecteur.