Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome3.djvu/552

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NICODON.

Allez, allez, j’ai bien une autre idée en tête.

LAURE.

Vous ne m’aimez donc plus ? Je ne sais qui m'arrête
Que deux larges soufllets, avec cinq doigts marqués,
Ne soient sur ton beau teint d’un bras ferme appliqués.

(A son geste, Nicodon effrayé s’enfuit.)

Allons, je vais trouver son cbien d’oncle, et lui dire
Ce qu’un dépit très-juste en pareil cas inspire.


FIN DU PREMIER ACTE.