236 HH.MAnnUES SIR LE CID.
Vers 113. Ton miilliouiciix ;miiin( ;iura l)ioii moins do peine A mourir |t;ii- l;i uiaiii qu'à vivre avec la haine.
Considéra
Que el dexarme es la veniranza,
(Jue ol niatarnie no lo fuera.
Vers M 5. Va, je ne te hais jjoint. — Tu le dois. Me ahorreces?
Ibid. — Je ne puis '.
No es posible.
Vers Mî. Et je veux que la voix de la plus noire envie Élève au ciel ma gloire et plaigne mes ennuis, Sachant que je t'adore et (jue je te poursuis.
Disculpar ;i mi dccoro
Con (piien piensa cpie te adore
El saher cjue te persigo.
Vers 127. Dans Tombre de la nuit cache l)ien ton départ
Vête, y mira â la salida No te vean.
Vers 128. Si l'on te voit sortir, mon honneur court hasard.
Es razon
No quitarme la opinion.
Vers 1 32. Que je meure.
Màtame.
Ibid. — Va-t'en.
Déxame. Ibid. — A quoi te rosous-tu?
Pues tu rigor que iiacer quiere?
Vers 133. Malgré des feux si beaux qui troublent ma colère. Je ferai mon possible à bien venger mon père, etc.
Por mi honor, aunque muger Ile de hacer
Contra ti (juanto pudiore Deseando no poder.
��1. Sur ce vers, et sur ceux qui le précèdent, voyez tome XIX, page'^210; et encore dans les Mélanges, année 174',), l'ouvrage intitulé Connaissance des beautés et des défauts, etc., au mot Diai.ogies e\ vkrs.
�� �