Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome32.djvu/534

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52à APPENDICE.

Et, contre Fénelon s'animant aujourd'hui,

Du Tond de ses déserts déclame conlre lui,

Et, moins humble do cœur que fler do sa doctrine.

Il ose décider ce que Rome examine.

��M. de La F are.

Quand je goûte avec toi la volupté suprême, Oui, je te jure, Iris, qu'attaché sur tes yeux, Occupé de loi seule et m'oubliant moi-même, Ton plaisir est celui que je ressens le mieux.

Gombaut.

Dans mes jours fortunés, au printemps de mon âge, Je cherchais une nymphe, illustre, belle et sage, Et qui pût m'inspirer mille ouvrages divers. Telle, et plus merveilleuse, Olympe est arrivée ; Mais le ciel m'a trop tard ses trésors découverts : Je ne cherchais plus rien lorsque je l'ai trouvée.

La Faye.

Abeille, arrivant à Paris, D'abord, pour vivre, vous chantâtes Quelques messes à juste prix; Bientôt après, vous ennuyâtes De Mars un des grands favoris, Chez qui pourtant vous engraissâtes. Puis au parterre vous lassâtes Les sifflets, par vous renchéris; Pour récompense vous entrâtes Chez les Quarante beaux esprits, Et sur eux-mêmes l'emportâtes A faire de méchants écrits.

Cola ressemble aux Commandements de Dieu :

Un seul Dieu, etc. «.

Chaulieu.

Est-ce Sainte-Aulaire ou Toureille Ou tous deux qui vous ont appris A confondre, mon pauvre Abeille,

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